chapeaux de paille . Je tenais le cou de Berthe entre mes deux mains et je
serrais . Elle suffoquait , elle allait rendre l'âme .
Trois âmes bourdonnaient : Berthe , moi et je ne sais quelle mouche
merveilleuse . Nous (Berthe et moi) serrions dans nos mains nos chapeaux
de paille et elle (la mouche vermeille) suffoquait dans mon cou .
Berthe tenait dans ses mains deux chapeaux : le mien et le sien . Je
suffoquais contre son cou vermeil car , dans la paille , trois mouches
merveilleuses rendaient l'âme ...
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