Trois mouches vermeilles et merveilleuses bourdonnaient contre nos
chapeaux de paille . Berthe plantait des radis . Contre mon épaule je sen-
tais la sienne , tendre et moite .
Trois mouches tendres bourdonnaient contre son épaule : Berthe plantait .
Ce sont des radis merveilleux disait-elle , vermeils , et j'étais moite sous mon
chapeau de paille .
Nos chapeaux de paille sentaient le radis . Merveilleuse et tendre Berthe ,
me disais-je ! . Elle bourdonne comme trois mouches contre une épaule moite ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire